VENDRE SES CÉRÉALES/ Prendre la décision la plus importante de l’année en y consacrant 5 minutes par semaine et avec un taux de réussite de près de 80 % : c’est le pari de …

C’est le rendez-vous européen des start-up et de l’innovation, à l’instar du CES de Las Vegas. La troisième édition du salon VivaTech débute aujourd’hui au parc des expositions de la Porte de Versailles, à Paris. Le président de la République, Emmanuel Macron, sera présent ainsi que Mark Zuckerberg (fondateur de Facebook) et aux géants de la technologie. 8. 000 start-up seront présentes. Parmi elles, trente-deux sont originaires de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et seront présentes sur le stand du Conseil régional. Elles ont été sélectionnées pour leur caractère innovant dans l’agroalimentaire. Sept sont auvergnates : Miamz’y ; PILOTER SA FERME ; Avec plaisir ; Bovimarket ; Exotic Systems, Winameety et Weather Mesures. De grandes entreprises régionales (Michelin, Limagrain et Seb) seront présentes sur le Lab Agritech-Foodtech aux côtés de la Région.

Des assistants personnalisés, comme PILOTER SA FERME, permettent à l’agriculteur, en rentrant ses paramètres d’exploitations, d’avoir des conseils, des alertes sur les moments où il faut vendre pour se couvrir. « Si on m’avait dit qu’un jour les robots m’éviteraient l’ascenseur émotionnel qu’est la vente de céréales »,

Les innovations technologiques et digitales avaient le vent en poupe : une allée d’exposants était réservée à des services des plus prometteurs pour PILOTER SA FERME grâce au numérique.

Experts et agriculteurs ont pu échanger sur de nombreuses thématiques : entretien de la fertilité des sols, innovations et alternatives pour la protection des cultures, raisonnements économiques et stratégies d’exploitation…

SYLVAIN JESSIONESSE DIRECTEUR COMMERCIAL À PILOTER SA FERME « Vendre tôt réduit le risque économique » La décision de commercialisation peut venir bonifier ou ruiner le travail d’une année, les enjeux sont importants. L’objectif n’est pas de vendre toute sa production au plus haut, mais de couvrir son besoin en chiffre d’affaires pour sécuriser l’entreprise. C’est le seul paramètre qui peut être connu de manière assez précise avant même le semis.

13h30. Le village des start-ups ouvre ses portes au public au cœur du Forum de la Création et de la Reprise d’entreprise. Laou, Feelae, PILOTER SA FERME, MyBus, DocnDoc, Miamz’y, 630°Est, Reoviz, Les Affranchis, Kalkin, Yes It is, Koboo, Opla et bien d’autres pépites locales ont pris place pour présenter leurs innovations sur leur stand respectif mais aussi lors de la session de pitchs organisés en pointillé sur la demi-journée.

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« Aujourd’hui on a de plus en plus d’informations externes à la ferme, mais aussi à l’intérieur, qui vont permettre à l’agriculteur de prendre les meilleures décisions au meilleur moment », souligne Paolin Pascot. PILOTER SA FERME, par exemple, est un outil d’aide à la décision qui permet aux agriculteurs, grâce à des alertes sur le marché, d’identifier le bon moment pour vendre sa production. Les innovations peuvent aussi permettre de modifier les relations entre producteurs et consommateurs.

ACTUAGRI Le 12 juin, lors du LFDay, 105 startups se sont réunies à la Cité des sciences, à Paris. Elles ont présenté leurs innovations aux 200 agriculteurs présents. Leur objectif est de les accompagner dans leurs prises de décisions, de leur simplifier la vie, de leur permettre d’être plus performants économiquement et de diminuer leur impact écologique.

C’est pourquoi AS Entreprises a investi le domaine du cofarming par des partenariats avec plusieurs start-up : Wefarmup (location de matériel) et Miimosa (financement participatif), Échange Parcelle, PILOTER SA FERME (pour gérer sa commercialisation), mais aussi avec des fonds d’investissements agricoles tels que Labeliance. « Le numérique n’est pas le moteur, mais un moyen pour accélérer cette agriculture plus collaborative » a conclu Thierry Fournaise

Temoveo propose les outils de commercialisation des céréales de Piloter sa ferme. « PILOTER SA FERME, c’est un état d’esprit pour mieux vendre », rappelle François Leveque, responsable de la commercialisation chez Temoveo. Les technico-commerciaux seront ainsi formés à ces outils d’ici la fin du mois de j u i n . Puis, les agriculteurs intéressés le seront d’ici la f i n d’année. « L’objectif est de former 250 agriculteurs », indique François Leveque. Ensuite, début 2019, Ternoveo animera des clubs marchés avec PILOTER SA FERME afin d’accompagner les agriculteurs au changement et de leur donner les bonnes c o n d u i t e s pour la commercialisation de leurs céréales. Rappelons que depuis j u i n 2017 Ternoveo a lancé Poséo, un logiciel de commercialisation des céréales: à ce jour, 1 400 agriculteurs l ‘utilisent. « Les TC saisissent les contrats en totalité via Poséo, précise François Leveque. Fini les contrats papiers ! Et 30 % des contrats sont passés par l’application de Poséo, c’est qui est un bon chiffre pour une première année de lancement. »

Ils ont parlé de nous lors du LFDay du 12 juin 2018

Créer des marques fortes, s’unir en coopérative, donner la priorité aux chaînes courtes, à l’économie circulaire et à l’agriculture urbaine, sont quelques thèmes abordés lors de la 84ème édition du salon Libramont, qui se déroule du 27 au 30 juillet. L’édition 2018 s’intitule « Qui va nourrir nos villes demain ? »

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(Texte en Néerlandais)

La foire sera le bon moment pour échanger sur les différents leviers pour améliorer sa compétitivité et s’inscrire aux prochaines sessions de formation. Le numérique peut amplifier ces leviers en apportant des solutions innovantes que le Groupe FDSEA propose en partenariat avec les start-up PILOTER SA FERME, We Farmup et Echange parcelle.

Capital du mois d’août présente des inventions « qui vont changer notre vie ». Parmi celles-ci, des plantes de Biodevas qui remplacent des antibiotiques pour soigner des animaux ou une appli pour « PILOTER SA FERME » qui peut « prédire quand vendre les céréales au meilleur cours ». Au niveau de l’alimentation, le changement majeur à venir concerne les alternatives aux protéines animales. Ainsi, aux États-Unis, il existe déjà des biftecks à base de plantes qui imitent parfaitement les caractéristiques de la viande et « même le bruit du hamburger en train de griller ! », s’amuse le mensuel. D’autres recettes remplacent le bœuf « par des légumineuses et des… vers », surprend le magazine. Sans oublier bien sûr, à plus long terme, la viande fabriquée en laboratoire. /

Dans ce cadre, l’accompagnement des pratiques culturales sera mis en valeur par la présence de conseillers, mais aussi d’acteurs de la commercialisation. Sur ce dernier point, la société « Piloter sa ferme » présentera ce que peuvent apporter ses outils dans la prise de décision pour vendre ses productions.

Cette start-up propose une gestion économique de l’entreprise grâce aux algorithmes. Concrètement, l’agriculteur rentre au préalable des données de l’entreprise dans le logiciel, charge ensuite à ce dernier de calculer la meilleure stratégie économique pour l’utilisateur. Un gain de temps et une meilleure efficacité selon ses créateurs. En marge de ce forum, une conférence sur l’intérêt de l’agriculture biologique a été proposée aux visiteurs avec l’intervention notamment de Lola Jeanningros.

Quels leviers pour continuer à vivre de mon maïs ? Dans un environnement de plus en plus complexe du point de vue économique, technique et environnemental, comment poursuivre la production de maïs sur mon exploitation ? Intervenants : Arvalis, Agpm, PILOTER SA FERME, les coopératives et des témoignages d’agriculteurs. Jeudi 27 septembre à 10 h 45 Quel modèle de mécanisation de mon exploitation demain pour produire un maïs de qualité, en quantité et au moindre coût ? Intervenants : IRSTEA, Axema, Agrolandes, des témoignages d’agriculteurs et de constructeurs.

Lancée au Salon de l’agriculture 2016, La Ferme Digitale comptait cinq startup (Agriconomie, Ekylibre, Miimosa, Monpotager.com et Weenat) qui partageaient la même vision de l’agriculture : « Performante, durable et citoyenne », explique Paolin Pascot, également cofondateur de la start-up Agriconomie. Dès la fin 2016, six nouvelles startups avaient déjà rejoint le mouvement (Airinov, Axioma, Comparateuragricole. com, Naïo technologies, Nexxtep technologies, PiloterSaFerme.com).

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Le Bivouac, créé en 2016 à l’initiative des grands acteurs institutionnels et privés de la région, favorise l’open-innovation, permet aux start-up qu’il héberge de rencontrer les acteurs des marchés qui les intéressent et de bénéficier de son écosystème d’innovation : expertises, réseaux de financeurs, mentors, partenaires, accompagnement.

Depuis sa création, l’accélérateur a accompagné une trentaine de start-up sur le territoire du grand Clemont. Certaines ont disparu mais d’autres ont éclos et rayonnent désormais au niveau national (Yes It Is, MyBus, Laou, PILOTER SA FERME, Koboo, Woom, par exemple).

Intégrant un pan plus large de la commercialisation, la société PILOTER SA FERME a vu le jour en 2015, et met à disposition un outil d’aide à la commercialisation des céréales. Il fournit aux agriculteurs des éléments les assistant à prendre les décisions basées sur des algorithmes mathématiques. La gestion des risques économiques se veut plus « rationnelle », en s’éloignant du facteur émotionnel de l’acte de vente.
Jeudi 13 décembre à 14 h à la Maison des agriculteurs (Chambray-lès-Tours), l’UDSEA 37 et AS CEFIGA 37 organisent une réunion en partenariat avec PILOTER SA FERME. L’objectif est d’expliquer comment les outils d’aide à la décision peuvent être utiles dans la stratégie de commercialisation. Cette réunion est ouverte à tous, mais seules 15 places sont disponibles. Il est nécessaire de s’inscrire auprès de gestion@as-cefiga37.fr ou au 0 2 47 28 3 0 02. Pour ceux qui le souhaitent, une formation de 3 jours sera ensuite organisée afin de prendre en main correctement l’outil : les jeudi 10 et mardi 15 janvier, le mardi 4 juin 2019.