Au cœur de Chalone, dans le sud des Landes, région marquée par la polyculture et l’élevage de palmipèdes, se distingue Pascal Lalanne, un agriculteur aux multiples casquettes. Sa trajectoire professionnelle, riche et diversifiée, reflète la dynamique de pluriactivité omniprésente dans le monde agricole. Ancien acteur du commerce agricole et fervent ambassadeur de l’innovation agricole avec « Piloter Sa Ferme » (PSF), Pascal incarne la transition vers une agriculture plus connectée et réfléchie grâce à l’outil Max.

Un agriculteur au parcours riche et diversifié

Pascal Lalanne n’est pas un agriculteur ordinaire. Sa carrière, jalonnée d’expériences variées au sein de différents secteurs agricoles, lui a permis de développer une vision globale de l’agriculture française. 

De l’animation de réseaux commerciaux à l’accompagnement technique, il a su marier ses compétences pour œuvrer à l’évolution du secteur. Son engagement chez Agridis, devenu Actura, lui a offert une plateforme unique. Ainsi, il a pu côtoyer les différentes régions de France, enrichissant son approche du métier.

L'innovation agricole avec PSF

C’est en tant que distributeur que Pascal a croisé la route de « Piloter Sa Ferme ». La présentation du projet par l’un de ses commerciaux en lien avec « La Ferme Digitale » a été le point de départ d’une collaboration fructueuse. 

Reconnaissant le potentiel de cet outil de vente et d’achat de produits agricoles, Pascal s’est rapidement positionné en tant que défenseur et formateur de l’outil au sein de son réseau.

Max : une innovation dans la prise de décision agricole

Initialement sceptique quant à l’utilisation de Max, Pascal a vu l’outil évoluer pour devenir une ressource incontournable dans la gestion de son exploitation. L’efficacité de l’outil développé par Piloter Sa Ferme réside dans sa capacité à fournir des données fiables et précises. Des données essentielles pour naviguer dans un marché volatil

L’outil transformé la manière dont Pascal gère son exploitation. Mais il a également suscité un vif intérêt au sein de la communauté agricole. Confirmant l’importance de se doter d’instruments de gestion avancés.

Une volonté de partage et d'innovation dans le monde agricole

Pascal ne se contente pas d’utiliser Max pour son propre bénéfice. Conscient de la valeur de cet outil, il a pris l’initiative de le partager avec son groupe. Persuadé que l’avenir de l’agriculture passe par l’innovation et la collaboration dans l’échange. 

Sa participation à la formation sur les marchés à terme, suivie de l’introduction de Max au sein de son groupe, illustre son engagement à favoriser une prise de décision éclairée et autonome chez les agriculteurs.

L'impact de Max et la vision de Pascal pour l'avenir de l'agriculture française

Pascal Lalanne voit en Max plus qu’un simple outil de gestion. C’est une passerelle vers une agriculture plus résiliente et proactive. Un outil capable de répondre aux défis contemporains. En tant qu’ambassadeur de PSF, il continue d’inspirer et de motiver ses pairs. Les encourageant à embrasser les nouvelles technologies pour une agriculture durable et rentable.

Le parcours de Pascal Lalanne avec « Piloter Sa Ferme » est un témoignage éloquent de la manière dont l’innovation technologique, lorsqu’elle est bien appliquée, peut transformer les pratiques agricoles. Sa vision et son engagement envers Max révèlent un futur prometteur pour l’agriculture. Un avenir où la prise de décision s’appuie sur des données précises et une analyse pointue, loin des émotions et des approximations.

Temps forts d'une rencontre avec un ambassadeur de Piloter Sa Ferme

A la confluence de l’agriculture et de l’innovation, Pascal Lalanne partage sa vision d’un monde agricole évolutif, résilient et connecté. Et pour cela, il s’appuie sur l’outil révolutionnaire Max !

Pouvez-vous nous parler de votre parcours avant de devenir ambassadeur de l'innovation agricole pour PSF ?

Exploitant agricole depuis 1994 dans un secteur de polyculture et d’élevage. Comme beaucoup d’agriculteurs, je suis ce qu’on appelle un pluriactif. Cela m’a permis de côtoyer un peu toutes les régions de France.

J’ai particulièrement opéré dans la grande région de la Lande Girondine où j’ai passé l’essentiel de mon activité d’agent commercial. Et, c’est là que j’ai découvert PSF. Non pas en tant qu’agriculteur, mais comme distributeur.

Comment avez-vous découvert Piloter Sa Ferme et Max ?

Ce fut grâce à un commercial de notre équipe, par ses contacts au sein de la Ferme Digitale. Il a introduit Max dans notre entreprise, et immédiatement, j’ai vu le potentiel de cet outil pour transformer notre approche de l’agriculture. J’ai décidé de suivre ce projet, convaincu de son utilité pour nous, les agriculteurs.

A l’époque, c’est-à-dire il y a 7-8 ans, un bon nombre de personnes, et notamment des grands professionnels de la question, ne croyaient pas dans l’outil. Mais après avoir été décrié, ce même groupe a décidé de référencer le produit. Logique : au sein d’un groupe il y a toujours des divergences. !

Quelle a été votre première impression de Max, et comment votre perception a-t-elle évolué ?

Donc Max, l’outil de Piloter sa Ferme, m’a été très utile en tant que technicien d’abord et également en tant qu’agriculteur. Au départ, je l’observais avec un certain scepticisme, me focalisant sur les indicateurs classiques.

Cependant, l’outil a évolué, devenant un véritable atout pour améliorer mes décisions.  Aujourd’hui, je rencontre beaucoup d’agriculteurs qui me disent « Alors ? ton PSF qu’est-ce -qu’il te dit ? ».

Face à la résistance initiale au sein de votre groupe, comment avez-vous défendu l'utilisation de Max ?

La mise en place et le suivi du produit au sein du groupe s’est correctement déroulé passaient vraiment bien au début. Animateur et promoteur du projet au sein de nos forces commerciales et j’avais à mes côtés des gens qui défendaient aussi très bien l’outil. Mais certains de mes confrères ont laissés tombés, peut-être par manque d’intérêt.

Je trouvais  vraiment dommage de laisser cet outil à l’abandon, alors j’ai décidé de reprendre au sein d’un groupe d’ODA initié aux marchés à termes. J’y ai été formé avec des confrères agriculteurs, en 2006, donc avant la première forte volatilité de 2007.

Après la disparition d’ODA, certains agriculteurs du groupe ont gardé des relations avec Agritel mais ce dernier est plus tourné vers les industriels ou les négoces de céréales. Nous avons donc redémarré l’hiver dernier et la démarche avec Piloter Sa Ferme a séduit ! 

Il aura donc fallu du temps pour éveiller l'intérêt des agriculteurs à l'outil de PSF ?

Je ne sais pas si l’abandon du projet que je portais il y a quelques années est dû au fait qu’il fallait que ça murisse dans la tête de chacun ou si l’envie de le redémarrer est dû à la conjoncture. Mais, il est bien entendu que si les cours étaient supérieurs à 300€ la tonne en blé ou en maïs, je pense que chacun serait resté dans son périmètre.

La chute, l’effondrement des cours, a sans conteste un impact sur la demande des agriculteurs aujourd’hui.  Bien que la presse en parle peu, laissant à penser que le monde céréalier est à l’abri de la crise. C’est complètement faux ! 

Après le COVID, l’inquiétude avec tous les événements en Ukraine et tout le contexte actuel ont relancé ce besoin de vivre collégialement certaines choses. D’ailleurs, moi dans ce groupe, il est maintenant prévu qu’on le fasse vivre et grandir. Parce que parler du passé, c’est facile. Regarder ce qui nous arrive devant et comment on va l’appréhender : Ca, c’est beaucoup plus passionnant !

Mais l’objectif à ne pas perdre de vue c’est d’assurer, voir de protéger au mieux le revenu de l’agriculteur !

Quel rôle joue la formation dans l'utilisation de Max ?

La formation est essentielle. Elle transforme Max d’un simple outil en une ressource indispensable. C’est cette éducation qui permet de tirer le meilleur parti de Max, en l’adaptant aux besoins spécifiques de chaque exploitation.

Et le deuxième facteur, c’est la profonde volonté d’être autonome dans sa prise de décision. Mais l’un des autres faits qui a motivé cette réaction, ou ce renouveau, c’est qu’ils ne sont pas du tout satisfaits des offres qui sont proposées, surtout par les organismes acheteurs.

Selon vous, quels sont les principaux défis auxquels les agriculteurs sont confrontés aujourd'hui, et comment PSF y répond ?

Nous faisons face à une volatilité des marchés sans précédent, issues des incertitudes géopolitiques et climatiques. PSF, à travers Max, offre une solution en simplifiant la prise de décision avec des analyses de marché actualisées. Cela nous aide à mieux définir nos besoins et à gérer notre profil de risque de manière plus efficace et très réactive. Ainsi, on peut mieux se soustraire des mauvaises décisions issues des émotions. 

Car, se sortir des émotions ça s’apprend ! Plus l’agriculture se professionnalise et plus les agriculteurs sont amenés à se former comme l’on fait les membres de mon groupe pour qui l’outil de PSF est bien plus facile à appréhender .

Après, il y a aussi des échecs parce qu’il y a des agriculteurs qui attendent de l’outil de PSF des choses qui n’existent pas. Par exemple, j’ai souvent entendu Sylvain dans sa communication qui expliquait très bien que Max n’est pas une boule de cristal !   Que vendre toutes ses cultures au plus haut : ça n’existe pas !

Quel message souhaitez vous transmettre aux agriculteurs qui hésitent encore à utiliser Max ?

En tant que producteur, je suis essentiellement 4 matières : le maïs, le blé, les azotés et le GNR. Et je n’ai pas en mémoire la moindre mise en défaut de l’outil de PSF. Il a toujours répondu à ce que j’en attends, c’est-à-dire des inversions de tendance, ce qui est une donne importante. 

Pour le reste, il faut bien connaître sa structure, se connaître soi-même  Et puis il y a l’adaptation locale, ses besoins de trésorerie qui sont propres à chaque exploitation.

Pour bien utiliser l’outil, il est indispensable de commencer par intégrer des formations de marché à terme. Pour moi, c’est complémentaire : ça marche ensemble.

Ensuite, il faut bien maîtriser sa gestion et ne pas tendre au « c’est de la faute des autres » qu’on entend trop souvent dans le monde agricole. Il faut commencer par se remettre en cause soi-même.

L'innovation agricole avec un outil comme Max : ça ne marche pas tout seul !

Donc un outil comme celui de PSF, je ne le valoriserai pas s’il n’y a pas ces deux premiers points. Lorsque je propose le produit à quelqu’un j’essaie de cerner l’agriculteur et savoir s’il va y trouver de l’intérêt. Car j’ai vécu l’arrivée des premiers « Pocket PC » et dans 90% des cas ils ont fini au fond d’un tiroir au bout de trois mois. Donc il est important de savoir si l’utilisateur sera assidu et réellement intéressé.

Et pour autant, il ne faut pas non plus rester seul.  L’accompagnement que propose PSF est indispensable !

Enfin, sur le plan économique tu engages un abonnement qui te fais juste prendre le risque de t’améliorer de 15 ou 20€ la tonne à la fin de l’année. Alors je ne m’engage pas beaucoup car c’est peut-être 10 mais c’est aussi peut-être 50 !

Max, c’est un investissement à résultat garanti mais aussi une ouverture, un échange !

Vous aussi , avancez vers une agriculture plus informée !

Découvrez comment « Piloter Sa Ferme » peut vous aider à prendre des décisions agricoles plus éclairées :